Et un sourire
La nuit n’est jamais complète
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l’affirme
Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler faim à satisfaire
Un cœur généreux
Une main tendue une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie la vie à se partager.
Paul Eluard (Le Phénix, 1951)
Une faute d'orthographe, une erreur, un problème ?
Paul ELUARD
Poète (†1952).
Dans cette rubrique
- Des nouvelles du Zimbawe après le cyclone
- "Venez et voyez” (Jn 1,39)
- Rendre nos églises ouvertes et accueillantes durant le confinement
- Les vœux pour 2018 de notre capitaine émérite-fondateur
- La peur et les médias
- Calais… enfin le bout du tunnel ?
- Religions, laïcité, libertés : Vers où la France veut-elle aller ?
- Les sept chemins de François d’Assise
- Lettre d’une mère
- La joie (première partie)
- Lettre de Bagdad
- Pèlerinage à Rome - Un bilan
- Appel à nos frères de France
- Une conversion plus subtile
- Deuxième lettre de Guayaquil
- Les murmures du vieux Noyer : consignes en cas d’épidémie…
- Aux Restos du Cœur
- Alep : Il faut une prise de conscience immédiate
- La joie (troisième partie)
- Au désert avec Charles de Foucauld
- Riche ou pauvre ?
- Lettre ouverte aux évêques de France
- Confinement
- Prendre le vent
- Vous rappelez-vous de mon anniversaire ?
- L’amour n’est pas tout fait
- Combien “gagne” monsieur le Curé ?
- Qui sait vraiment ce qui se cache derrière les murs de la psychiatrie ?
- Église, je te bénis et je souffre
- Lettre de Guayaquil, Équateur
Publié: 01/11/2017