Et un sourire
La nuit n’est jamais complète
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l’affirme
Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler faim à satisfaire
Un cœur généreux
Une main tendue une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie la vie à se partager.
Paul Eluard (Le Phénix, 1951)
Une faute d'orthographe, une erreur, un problème ?
Paul ELUARD
Poète (†1952).
Dans cette rubrique
- Lettre d’une mère
- Rendre nos églises ouvertes et accueillantes durant le confinement
- Centrafrique, en avril 2014
- Combien “gagne” monsieur le Curé ?
- Aux Restos du Cœur
- L’amour n’est pas tout fait
- Vous rappelez-vous de mon anniversaire ?
- Être prêtre à Trabzon (Trébizonde) en Turquie
- Noël 2015 en Syrie
- Église, je te bénis et je souffre
- "Venez et voyez” (Jn 1,39)
- Un Noël en prison
- Et un sourire
- Les vœux pour 2018 de notre capitaine émérite-fondateur
- Priez avec nous, je vous en supplie, vos prières nous sont d’un grand secours
- Nouvelles d’Al-Safina
- Prendre le vent
- Baptisés réveillés ?
- Les murmures du vieux Noyer : consignes en cas d’épidémie…
- Lettre de Guayaquil, Équateur
- Partage de Syrie
- « Nous, l’Église »
- Les sept chemins de François d’Assise
- La joie (première partie)
- Lettre d’un prêtre catholique au New York Times
- La relocalisation des musulmans, opération de sauvetage ou coup de pouce à la partition
- Appel à nos frères de France
- Les babioles
- La joie (troisième partie)
- Confinement
Publié: 01/11/2017