La parabole du fils prodigue
Lc 15,11-32

Jeune, je suivais la messe et en sortais parfois plein d’incompréhension, notamment quand c’était la parabole de ce fils, à mes yeux indigne, qui préférait jouir des biens tout de suite, et de son frère qui restait travailler auprès de son père. Quelle injustice quand, au retour de ce fils, le père faisait tuer le veau gras !
Cette parabole me révoltait, car à cette époque je m’identifiais au "bon fils".
Aujourd’hui, ayant l’âge du père, et ayant vécu des faits de vie similaires à cette parabole, je serais heureux de pouvoir tuer le veau gras au retour d’un enfant perdu.
Une faute d'orthographe, une erreur, un problème ?
Pascal D.
Agriculteur.
Dans cette rubrique
- Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
- A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres.
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !
- Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
- Et voici que, ce même jour, deux d’entre eux faisaient route vers un village du nom d’Emmaüs, distant de Jérusalem de 60 stades.
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- La parabole du fils prodigue
- Et remets-nous nos péchés, car nous-mêmes remettons à quiconque nous doit ; et ne nous laisse pas entrer en tentation.
- Vous donc, priez ainsi : Notre Père qui es dans les cieux, que ton Nom soit sanctifié...
- J’ai compassion de qui j’ai compassion, et je fais miséricorde à qui je fais miséricorde.
- Que ta volonté soit faite
- Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté
- Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
- Pierre, m’aimes-tu ?
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Demeurez en moi !
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- Viens !
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.
- Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.
- Qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas
- Ils se montraient assidus à l’enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. - On t’a fait savoir, homme, ce qui est bien, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu.
- Parmi les dons de Dieu ... s’il me manque l’amour...
- Le connaître, Lui, et la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances, lui devenir conforme dans la mort afin de parvenir si possible à ressusciter d’entre les morts.
Publié: 01/03/2023