Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
Mt 6,26

La première fois que ce verset m’a interpellé, c’était une veille d’examen à Bruxelles en tant qu’étudiant. J’étais prêt à tout plaquer, me sentant incapable d’affronter la difficulté. Je suis tombé par hasard sur le verset, il a travaillé en moi et m’a apaisé. Avoir confiance en Dieu ! Non pas qu’il réussisse l’examen à ma place, mais qu’il m’accompagne dans la difficulté.
Plus tard, quelques grosses tuiles de la vie me sont tombées dessus. À chaque fois, et encore aujourd’hui, ce petit verset me rappelle que je peux compter sur un Père qui ne m’abandonnera pas. Je me mets alors à prier : « Seigneur, si je dois traverser ce désert, que ce soit ainsi. Mais je te demande juste de m’accompagner dans l’épreuve et de me donner la force de ne pas sombrer, de surmonter les difficultés, de rester digne, comme promis dans ce verset. »
Dieu n’est pas un sadique : s’il laisse arriver les ennuis, il désire sûrement que j’en sorte autrement, meilleur, grandi... Peut-être ce sera dur à supporter, mais jamais Dieu ne m’enfoncera, il me viendra en aide même si c’est juste avant que je ne craque.
C’est l’essentiel pour moi : la confiance absolue en Dieu ! Alors que généralement nous faisons plus confiance aux calculs de nos ordinateurs qu’à la générosité, la miséricorde, la compassion de Dieu...
De cette confiance découle tout le reste : le calme dans les épreuves, le détachement de besoins matériels superflus, la force de rester moi-même si le « mainstream » de la société va à l’encontre de mes valeurs. Je sais que je ne serai pas abandonné, pourquoi m’inquiéter alors ?
Tout est dit dans le verset, même l’annonce de ma Résurrection ! Ou bien croyez-vous qu’il me laissera tomber à ce moment-là ? Non, non et non !

Équipier de PSN.
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- Pierre, m’aimes-tu ?
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- Le connaître, Lui, et la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances, lui devenir conforme dans la mort afin de parvenir si possible à ressusciter d’entre les morts.
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.
- Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
- Demeurez en moi !
- Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- Viens !
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- J’ai compassion de qui j’ai compassion, et je fais miséricorde à qui je fais miséricorde.
- "Car tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et je t’aime."
- Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur.
- Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté
- Et remets-nous nos péchés, car nous-mêmes remettons à quiconque nous doit ; et ne nous laisse pas entrer en tentation.
- Qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas
- La parabole du fils prodigue
- Ils se montraient assidus à l’enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. - On t’a fait savoir, homme, ce qui est bien, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu.
- Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
- Vous donc, priez ainsi : Notre Père qui es dans les cieux, que ton Nom soit sanctifié...
- Que ta volonté soit faite
- Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.