Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !

Ils en ont de bonnes, à Port St Nicolas !
Comment choisir un texte d’évangile, un seul, en motivant ma préférence ?
Mais suivant les circonstances, mon humeur, mes besoins, ce sera telle parabole ou tel geste ou telle parole qui me touchera, m’interpellera ou me fera fondre. Si encore, ils avaient demandé l’évangéliste préféré, il y en aurait eu trois à éliminer. C’était faisable. Mais là, j’avoue que je suis rudement dépassée.
Alors avec ma petite logique, je crois que je vais choisir le texte sans lequel, il ne serait rien passé. On en serait encore à l’Ancien Testament, aux époques avant Jésus Christ. Ce texte, c’est celui de l’Annonciation, en Luc ().
On est ébloui par le respect de Dieu vis à vis de sa créature, et par la confiance de Marie, son abandon total entre les mains du Seigneur. Comment a-t-il eu l’idée abracadabrante de venir sur terre pour nous parler de son amour pour nous ? Il faut être fou, fou d’amour pour agir aussi déraisonnablement ! Et j’admire aussi l’adhésion sans restriction de Marie au projet de Dieu sur elle. Elle ne se soucie pas des réactions de son entourage, de la peine que pourrait ressentir Joseph, des conséquences désastreuses que risque d’entraîner sa situation de fille-mère. Elle dit oui, tout simplement, avec beaucoup d’élégance. Je n’ose pas imaginer quelle aurait pu être ma réaction si à 15, 16 ans...
« Bienheureuse celle qui a cru » dira son Fils en parlant de sa mère. Et là aussi, je me réjouis de voir que Dieu sait reconnaître que la foi en lui, ne va pas de soi, ne coule pas de source.
Dans ce passage, le Créateur et la créature me remplissent d’aise. C’est d’ailleurs le premier texte que j’ai écrit pour la radio diocésaine, quand j’ai commencé à desserrer le corset qui, pendant près de 70 ans, m’empêchait de m’adresser à Dieu, ...comme un enfant avec son père.
Ça vaut bien une petite préférence, non ?

Laïque mariste († 2011).
- Pierre, m’aimes-tu ?
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !
- Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur.
- Tout n’est pas de même intensité dans la Bible
- Ils se montraient assidus à l’enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. - On t’a fait savoir, homme, ce qui est bien, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu.
- Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
- Viens !
- "Car tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et je t’aime."
- A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres.
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- Que ta volonté soit faite
- Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- Tandis qu’il était encore loin, son père l’aperçut et fut pris de pitié ; il courut se jeter à son cou et l’embrassa tendrement.
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Allez, il vous précède en Galilée
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- Parmi les dons de Dieu ... s’il me manque l’amour...
- Le connaître, Lui, et la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances, lui devenir conforme dans la mort afin de parvenir si possible à ressusciter d’entre les morts.
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- J’ai compassion de qui j’ai compassion, et je fais miséricorde à qui je fais miséricorde.
- Demeurez en moi !
- Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
- Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.
- Vous donc, priez ainsi : Notre Père qui es dans les cieux, que ton Nom soit sanctifié...
- La parabole du fils prodigue