Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
Mc 14,3
J’aime beaucoup la gratuité du geste de Marie qui brise un flacon de parfum de grand prix pour « célébrer » Jésus. Par son geste elle lui témoigne son affection et son estime. J’aime aussi la réaction de Jésus qui reçoit pleinement ce geste. Alors que les disciples sont dans une logique de troc et de chiffres (réaction très masculine d’ailleurs !), Jésus se laisse aimer par cette femme et témoigne que la relation, l’amitié et l’amour n’ont pas de prix. Le remercie-t-elle de ce qu’il lui donne et de ce qu’il donnera encore (sa vie) ? Ils se reçoivent l’un l’autre et se donnent l’un l’autre.
Cette scène met en image la louange... pour celui qui sait recevoir le don - le merci n’ira pas seulement pour l’objet mais pour la personne qui donne. Remercier pour ce qui m’est donné mais remercier Dieu car il est bon, doux et humble de cœur ().
L’onction de Béthanie est une illustration aussi de l’abandon dans le moment. Cet abandon dans la confiance, ce qui permet de se recevoir l’un l’autre. Je pense à toutes les personnes qui cheminent vers la mort, quelle délivrance quand elles peuvent dire merci au passé, s’abandonner à un présent qui est donné et espérer le futur avec confiance. Et même si le futur sera empreint de souffrance, vivre intensément le moment présent et en rendre grâce.
Dans notre société empreinte de relations où l’on « prend » l’autre, régies par le « donnant-donnant », un chemin de foi nous est proposé : recevoir - se recevoir de Dieu, recevoir l’autre, le tout Autre. Cet amour que Dieu nous donne gratuitement. Faire l’expérience que nous en sommes dignes et qu’il n’attend rien en retour que de lui ouvrir les bras.
Agent pastoral en milieu hospitalier psychiatrique, Bruxelles.
- Parmi les dons de Dieu ... s’il me manque l’amour...
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- J’ai compassion de qui j’ai compassion, et je fais miséricorde à qui je fais miséricorde.
- Demeurez en moi !
- "Car tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et je t’aime."
- A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres.
- Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
- Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.
- Viens !
- Pierre, m’aimes-tu ?
- Allez, il vous précède en Galilée
- Ils se montraient assidus à l’enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. - On t’a fait savoir, homme, ce qui est bien, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu.
- Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.
- Qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté
- Que ta volonté soit faite
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur.
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Et voici que, ce même jour, deux d’entre eux faisaient route vers un village du nom d’Emmaüs, distant de Jérusalem de 60 stades.
- Vous donc, priez ainsi : Notre Père qui es dans les cieux, que ton Nom soit sanctifié...
- Et remets-nous nos péchés, car nous-mêmes remettons à quiconque nous doit ; et ne nous laisse pas entrer en tentation.
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.