Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
Mc 1,16-20

On commence la deuxième année de catéchisme en étudiant l’appel de Simon, de son frère André, de Jacques et de son frère Jean.
« Pêcheur d’homme », en voilà une drôle d’expression !
Si la pêche à l’homme est difficile à imaginer pour des enfants de 8-9 ans, elle n’en demeure pas moins improbable pour un adulte.
J’aime bien cet évangile parce qu’il m’a permis de réaliser à quel point l’Esprit Saint nous est nécessaire pour comprendre la Parole de Dieu et aussi parce que l’Esprit Saint nous parle à travers n’importe qui, à n’importe quel moment. En fait, il m’a fallu deux ans pour vraiment comprendre ce qu’est un pêcheur d’homme.
A travers une homélie dominicale, j’ai appris que l’eau, qui aujourd’hui est perçue comme source de vie, était, au temps de Jésus, perçue comme dangereuse et vecteur de mort.
Le pêcheur d’hommes est donc celui qui va sauver son prochain de la mort.
A partir de là, tout s’éclaire, tout s’explique. Quelle joie emplit mon cœur lorsque je comprends ma mission de baptisée. Voilà, dorénavant, je serai pêcheur d’hommes !!!
Quel bonheur d’être disciple de Jésus, de témoigner de la gloire de Dieu, en un mot d’évangéliser toujours et partout, souvent, sans même en avoir conscience.
Soyons donc pêcheur d’hommes !!!
- Tout n’est pas de même intensité dans la Bible
- Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté
- J’ai compassion de qui j’ai compassion, et je fais miséricorde à qui je fais miséricorde.
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Et voici que, ce même jour, deux d’entre eux faisaient route vers un village du nom d’Emmaüs, distant de Jérusalem de 60 stades.
- Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
- Allez, il vous précède en Galilée
- La parabole du fils prodigue
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- Pierre, m’aimes-tu ?
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Demeurez en moi !
- Que ta volonté soit faite
- Tandis qu’il était encore loin, son père l’aperçut et fut pris de pitié ; il courut se jeter à son cou et l’embrassa tendrement.
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
- Qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.
- Ils se montraient assidus à l’enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. - On t’a fait savoir, homme, ce qui est bien, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu.
- "Car tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et je t’aime."
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur.
- Viens !
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- Et remets-nous nos péchés, car nous-mêmes remettons à quiconque nous doit ; et ne nous laisse pas entrer en tentation.