Et voici que, ce même jour, deux d’entre eux faisaient route vers un village du nom d’Emmaüs, distant de Jérusalem de 60 stades.
Lc 24,13
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Deux disciples faisaient un chemin ensemble et discutaient de tout ce qu’ils avaient vu et entendu.
Ils étaient tristes, fixant l’image qu’ils avaient eue de ce Christ tué, crucifié. Les chefs l’avaient tué et lui est mort, il n’y est plus. Ils racontaient leurs impressions et se communiquaient la tristesse qu’ils avaient au cœur.
Ils étaient déçus parce qu’ils espéraient qu’il délivrerait Israël. L’image qu’on leur a fixée dans la tête, leur vie avec lui et tout ce qu’il avait expliqué ne leur a pas permis d’avoir un contact vrai avec cette personne pour changer d’image.
Nous espérions, mais lui intervient dans cette conversation comme un inconnu. Comme d’autres personnes aussi, préoccupées par leur propres sentiments, ne le reconnaissent pas, ils se sont fixés sur une situation, sur une image et ils cheminent ensemble.
Le Seigneur intervient pour leur indiquer un chemin, il leur donne le premier critère qui fera voir l’image de ce Christ telle qu’elle est dans les Écritures. Il ouvre leur cœur et leurs yeux à l’Écriture.
Puis il se fait connaître non plus comme image dans l’Écriture, mais comme personne. Personne vivante, qui mange et partage. Dès qu’ils le reconnaissent, il ne les laisse pas fixer une image, il disparaît, pour dire que la personne vit, grandit, évolue.
Ce passage me parle fortement, comme phénomène de communication, de présence et donne l’orientation de ma vie dans mon action et ma mission catéchétique.
L’aspect qui m’attire le plus c’est de libérer les gens de leurs préjugés, de l’image qu’ils se font du musulman, du Palestinien ou de tout autre.
Les libérer des stéréotypes que nous avons eus pendant la guerre pour leur permettre de se révéler tels qu’ils sont.
Donc travailler à libérer, à me libérer et à libérer les autres en les aimant.
L’œuvre du Christ était de manifester l’amour du Père. Toute ma tâche humaine est de continuer à manifester cet amour inconditionnel.
- Les libérer en leur rappelant l’Evangile qu’ils ont médité en aimant en vivre.
- Les libérer par l’amour que nous portons à leur personne comme portant l’image du Christ. Le voir en eux. Le Christ s’incarne dans les pauvres, les délaissés.
- Les libérer en leur permettant une vraie connaissance de l’autre en les ouvrant à l’autre et en créant un contact de personne à personne et non des préjugés et images.
Aliénée par les images fabriquées pendant la guerre, sur les musulmans, les Palestiniens, les Grecs orthodoxes, les maronites etc., j’ai besoin d’être libérée. Je crois que c’est ce que le Christ fera.
C’est ainsi, que, pour continuer l’œuvre libératrice du Christ, tous les jours et à chaque rencontre je sens le besoin de me libérer de mes préjugés, de mes stéréotypes et de tout ce qui peut être un handicap et m’empêche de traiter avec des personnes, de rencontrer les autres et tout autre.
Religieuse grecque catholique au Liban.
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
- Le connaître, Lui, et la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances, lui devenir conforme dans la mort afin de parvenir si possible à ressusciter d’entre les morts.
- Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.
- Que ta volonté soit faite
- Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur.
- Qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas
- Et voici que, ce même jour, deux d’entre eux faisaient route vers un village du nom d’Emmaüs, distant de Jérusalem de 60 stades.
- La parabole du fils prodigue
- Allez, il vous précède en Galilée
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Pierre, m’aimes-tu ?
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- J’ai compassion de qui j’ai compassion, et je fais miséricorde à qui je fais miséricorde.
- Tandis qu’il était encore loin, son père l’aperçut et fut pris de pitié ; il courut se jeter à son cou et l’embrassa tendrement.
- Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres.
- Vous donc, priez ainsi : Notre Père qui es dans les cieux, que ton Nom soit sanctifié...
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- Ils se montraient assidus à l’enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. - On t’a fait savoir, homme, ce qui est bien, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu.
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- Demeurez en moi !
- Et remets-nous nos péchés, car nous-mêmes remettons à quiconque nous doit ; et ne nous laisse pas entrer en tentation.
- Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...