Pourquoi y a-t-il sept sacrements ?
Au Moyen-Âge, les théologiens ont voulu distinguer les "sacrements majeurs" (nos sacrements d’aujourd’hui) et les "sacrements mineurs" parmi les lesquels on comptait la profession monastique, la consécration des églises, le sacre des rois, les funérailles, et plusieurs bénédictions (que nous appelons aujourd’hui "sacramentaux").
En trouvant dans les sacrements majeurs le chiffre symbolique de 7, on exprimait ainsi leur perfection et leur plénitude. Ce septenaire a été officialisé par le concile de Trente dans sa septième session, en mars 1547.
Le concile de Vatican II a porté un autre regard sur les sacrements en précisant que le premier des sacrements est l’Eglise elle-même, "signe et moyen de l’union intime avec Dieu et de l’unité du genre humain" (Constitution Lumen Gentium n° 1).

Curé de Port Saint Nicolas
- Quand peut-on dire qu’une messe est "réussie" ?
- Pourquoi les chrétiens parlent-ils de Pâques au pluriel ?
- Enfants de chœur, servants d’autel ou servants de messe ?
- Pourquoi appelle-t-on "symbole des apôtres" le "credo" que nous disons chaque dimanche à la messe ?
- Dans ma paroisse, il y a des crispations autour de la liturgie. Comment les éviter ?
- Pourquoi y a-t-il sept sacrements ?
- J’ai vu à la télévision un prêtre qui bénissait des chiens et des chats dans son église. N’est-ce pas un peu déplacé ?
- Est-il vrai qu’une église communale puisse être désaffectée ?
- Je suis « aumônier laïc » dans une maison de retraite. Puis-je bénir un malade ?
- Par manque de prêtres, sommes-nous condamnés à fermer dans les campagnes un nombre de plus en plus grand d’églises ?
- Dans les églises, on représente souvent les quatre évangélistes par des symboles imagés. Quels sont-ils ?
- Si l’église est un lieu de prière, ne faut-il pas limiter les bavardages avant la messe qui troublent ceux qui sont venus se recueillir ?
- Peut-on bénir un chapelet, une médaille ?
- Comment détermine-t-on la date de Pâques ?
- Pourquoi 3 stations où Jésus tombe figurent-elles dans le chemin de croix alors qu’elles ne sont pas bibliques ?
- Pourquoi l’homélie est-elle réservée au prêtre ? Il y a des laïcs qui seraient plus intéressants à écouter !
- Est-ce normal que ce soit toujours les mêmes qui fassent les lectures à la messe ?
- Dans les formules de bénédiction, ne pourrait-on pas remplacer la formule "le Père Tout-Puissant", qui évoque trop les caprices d’un potentat oriental, par une autre comme : "le Père Très Aimant" ? Cela lèverait une regrettable ambiguïté sur la toute-puissance de Dieu...
- D’où viennent les sacrements ?
- Pourquoi le dimanche des rameaux est une fête peu célébrée ? L’entrée à Jérusalem est noyée par la lecture de la Passion, qui a sa place le vendredi saint.