Et un sourire
La nuit n’est jamais complète
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l’affirme
Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler faim à satisfaire
Un cœur généreux
Une main tendue une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie la vie à se partager.
Paul Eluard (Le Phénix, 1951)
Une faute d'orthographe, une erreur, un problème ?
https://portstnicolas.org/article4489Paul ELUARD
Poète (†1952).
Dans cette rubrique
- Les rides
- Confinement
- Les sept chemins de François d’Assise
- Qui sait vraiment ce qui se cache derrière les murs de la psychiatrie ?
- Appel à nos frères de France
- Notre-Dame de Paris : « Si eux se taisent les pierres crieront. » (Luc 19, 40)
- Partage de Syrie
- Un Noël en prison
- L’équipe du catéchisme à A... (diocèse de Cambrai)
- Être prêtre à Trabzon (Trébizonde) en Turquie
- Deuxième lettre de Guayaquil
- Baptisés réveillés ?
- Combien “gagne” monsieur le Curé ?
- Les babioles
- La joie (première partie)
- Au désert avec Charles de Foucauld
- Lettre aux Rois Mages
- « Nous, l’Église »
- A Haïti...
- Calais… enfin le bout du tunnel ?
- Centrafrique, en avril 2014
- Rendre nos églises ouvertes et accueillantes durant le confinement
- Arrêtez-vous et sachez que je suis Dieu
- Vous rappelez-vous de mon anniversaire ?
- « Au revoir, Jean »
- Et un sourire
- Démanteler ou construire ?
- Une conversion plus subtile
- L’amour n’est pas tout fait
- Silence, ici on tue !
Publié: 01/11/2017