Statue ou image censée représenter la divinité (cf. le veau d'or en Ex 32:15-24). Le décalogue interdit formellement toute représentation imagée de Dieu, et les prophètes dénonceront vigoureusement le culte des idoles (idolâtrie).
Du latin improperium (reproche), le chant des impropères accompagne traditionnellement la vénération de la croix, le vendredi saint. Il met dans la bouche du Christ les reproches qu'appelle l'ingratitude de son peuple.
Avant d'être, en certains cas très particuliers, celle du pape et des évêques, l'infaillibilité est d'abord celle de toute l'Eglise: "Pour maintenir l'Eglise dans la pureté de la foi transmise par les apôtres, le Christ a voulu conférer à son Eglise une participation à sa propre infaillibilité, Lui qui est la Vérité. Par le "sens surnaturel de la foi", le Peuple de Dieu "s'attache indéfectiblement à la foi", sous la conduite du Magistère vivant de l'Eglise." (Catéchisme de l'Eglise Catholique § 889).
L'infaillibilité du magistère est une exception. Elle ne saurait être postulée: "Aucune doctrine n'est considérée comme infailliblement définie que si cela est manifestement établi." (Code de Droit Canonique c 749-3 ). Dans la pratique, on ne peut pas dire qu'elle ait donné lieu à beaucoup d'abus, puisque, depuis la définition de l'infaillibilité pontificale au concile de Vatican I en 1870, le pape n'est intervenu qu'une seule fois "ex cathedra", pour proclamer en 1950 le dogme de l'Assomption. Nombre de théologiens et d'évêques ont cependant été surpris, voire troublés, par l'autorité engagée par le pape Jean-Paul II dans sa lettre apostolique Ordinatio sacerdotalis du 22 mai 1994 et plus encore par le communiqué de la Congrégation pour la Doctrine de la foi présentant, après coup, cette lettre apostolique comme un "acte du Magistère pontifical ordinaire, en soi non infaillible, attestant le caractère infaillible de l'enseignement d'une doctrine déjà en possession de l'Eglise".
Le charisme de l'infaillibilité porte sur la foi comme sur les mœurs.
"Fort contre Dieu": Nom donné au patriarche Jacob (Gn 32:23-32) et à sa descendance, le peuple boiteux que Dieu a saisi et dont toute l'histoire sera celle d'une confrontation avec Dieu! Durant toute la période où coexistent deux royaumes (931-721), Israël est le nom du royaume du Nord, dont la capitale est Samarie.
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