Méditation pour le 15 août
En éprouvant que Dieu fait de si grandes choses en elle,
la sainte Vierge, si humble, si pauvre, si peu considérée,
apprend de l’Esprit Saint une précieuse sagesse :
elle apprend que Dieu est un Seigneur dont l’unique préoccupation est d’élever ce qui est humilié,
d’abaisser ce qui est élevé,
de briser ce qui est armé,
et de guérir ce qui est brisé.
Dieu demeure le seul à plonger les regards dans les profondeurs de la détresse et de la misère :
il se tient auprès de ceux qui habitent les bas-fonds.
Ne trouves-tu pas merveilleux ce cœur de Marie ?
Elle se sait mère de Dieu,
élevée au-dessus de tous les hommes,
et elle demeure si humble,
si calme que tout ce qui lui arrive ne l’amène pas à considérer la dernière des domestiques comme inférieure.
Le cœur de Marie laisse Dieu accomplir son œuvre.
Faisons de même.
Ce sera là chanter un véritable Magnificat.
La louange de Marie rapporte tout à Dieu : « Dieu est magnifié ! »
- Écoute la vie frémir
- Réussir ma vie
- Le psaume de la mer
- Prière pour notre terre
- Quarante jours
- Donne-nous du souffle, Seigneur !
- Pour que ma vie ne soit qu’un reflet de la tienne
- Toussaint
- Euphorie vespérale (Le poème du sacristain)
- Fais de moi un pèlerin
- Seigneur, fais de moi un ouvrier de paix
- Prière d’après le psaume 61
- Entre les mains de notre Père
- Petites béatitudes
- Supposons qu’un beau jour le Seigneur réponde à notre « Notre Père »
- Après l’été
- Prière d’automne
- Béni sois-tu, Seigneur
- Nous ne croyons pas au Père Noël
- Tomber amoureux
- Je crois
- Mère de Dieu
- Seigneur, je n’ai rien à te dire
- Seigneur, la maladie me frappe
- Au bout de la route
- Aime-Moi
- Témoin d’une bonne nouvelle
- Dieu et les estivants
- Prière d’un dévôt à Vichnou
- Veiller, attendre, guetter