Péché
Jn 15,22
Qu’on le définisse comme « une faute contre la raison » (Catéchisme de l’Eglise Catholique n° 1849), le refus de suivre ou d’éclairer sa conscience, une désobéissance à l’unique commandement de l’amour, ou encore une infidélité à l’alliance scellée au jour du baptême, il s’agit là d’une notion théologique qui, en rigueur de terme, n’a de sens que pour qui accepte de se situer par rapport à Dieu (Jn 15,22). Le péché est donc à distinguer de la faute et du sentiment de culpabilité.
Enfin, parce qu’il suppose toujours de ma part un engagement libre, le péché n’est pas non plus à confondre avec mes erreurs, ou encore avec mes limites (physiologiques, psychologiques, culturelles, etc.) que je subis et m’efforce d’assumer sans les avoir choisies le moins du monde !

Le plus vieux marin de Port Saint Nicolas.
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