Démocratie
Aux catholiques très soucieux de rappeler le rôle des évêques et du pape, on concèdera que l’Eglise n’est pas une démocratie. Mais on ne manquera pas de leur faire remarquer qu’elle n’est pas davantage une monarchie ! On rappellera même perfidement que le pape lui-même est désigné par une élection.
A vrai dire, aucune forme politique concrète valant pour un Etat ne peut valoir pour l’Eglise, dont la mission spécifique est d’ordre spirituel.
Comme tout régime politique, la démocratie a ses limites, ne serait-ce que parce qu’elle suppose la vertu des citoyens et un sens du bien commun fort exigeant. Il est clair aussi que le bien et le mal ne se décident pas par un vote, fût-il majoritaire !
Il se trouve néanmoins que, au moins en son type occidental, fondée sur l’équilibre des pouvoirs et la souveraineté d’un peuple de citoyens égaux en droit, la démocratie apparaît, pour les évêques de France, comme « le modèle (politique) le plus humanisant, même s’il faut constamment le régénérer » (Réhabiliter la politique, Commission sociale de l’Episcopat, février 1999).

Le plus vieux marin de Port Saint Nicolas.
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