Confirmation
Rm 8,14-15
Ac 2,1-41
Le deuxième des sacrements de l’initiation chrétienne est très lié au baptême, au point de le suivre immédiatement dans le cas d’un baptisé adulte. Dans le cas d’un jeune, le parrain de la confirmation peut d’ailleurs être le même qu’au baptême. Conférée par le double rite de l’imposition des mains et une onction d’huile, la confirmation - que nos frères orthodoxes appellent la « chrismation » - communique la force de l’Esprit pour, comme son nom l’indique, « affermir » dans la foi les baptisés (Rm 8,14-15). Elle est à chaque baptisé ce que la Pentecôte est à toute l’Église (Ac 2,1-41).
En Occident, c’est l’évêque qui donne habituellement ce sacrement, ce qui en souligne la dimension ecclésiale et missionnaire. En France, la confirmation est généralement proposée à des jeunes âgés de 14 ans et plus. Si donc, théologiquement, c’est Dieu qui confirme les baptisés, il n’en est pas moins vrai que, psychologiquement, les baptisés confirmés à l’âge de l’adolescence ont bien conscience de confirmer la foi de leur baptême et le choix fait à l’époque par leurs parents !

Le plus vieux marin de Port Saint Nicolas.
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