Ève
En Gn 3,20, le texte biblique rattache ce nom donné par l’homme à sa femme au mot hébreu, très proche, qui signifie « la vie ». Cette créature de rêve (c’est le cas de le dire, puisqu’elle fut tirée de l’homme endormi) céda aux charme vénéneux d’un beau parleur. Depuis lors, elle-même ne cesse de séduire les hommes grâce, notamment, à la simplicité de son costume.
Une faute d'orthographe, une erreur, un problème ?
Info

Hilaire LECOUËDIC
Le plus vieux marin de Port Saint Nicolas.
Dans cette rubrique
- Sens de la foi
- Théologie
- Divorce
- Épiclèse
- Messe chrismale
- Subsidiarité
- Chanoine
- Conscience
- Alliance
- Sacristie
- Gourmandise
- Vertus théologales
- Trève de Dieu
- Pudeur
- Disciple
- Ève
- Concupiscence
- Moine
- Acharnement thérapeutique
- Péché originel
- Circoncision
- Dieu
- Impropères
- Saint Siège
- Horeb
- Aumônier
- Mardi gras
- Ordinaire
- Sacrements de l’initiation
- Diocèse
Publié: 30/11/2003