Chemin de croix
Ce sont les franciscains, préposés depuis 1312 à la garde des lieux saints, qui introduisirent en Europe ces représentations - jadis appelées « passions » - du chemin qui va du palais de Pilate au Calvaire. La piété populaire ne craignit pas de mêler aux récits des évangiles de pieuses traditions, telle celle de Véronique essuyant la face du Christ ou encore la chute de Jésus, à trois reprises, sous le poids de la croix. On en vint ainsi peu à peu à fixer à 14 le nombre des « stations » du chemin de croix qui déterminent comme les étapes d’un mini-pèlerinage effectué par les paroissiens dans leur église chaque Vendredi saint.
On raconte néanmoins que le sacristain de Port Saint Nicolas a été surpris un jour, alors que son curé, ayant dû s’interrompre pour aller administrer un mourant, lui avait confié le soin de finir le chemin de croix, en train d’annoncer : « 27e station : le fils de Zachée épouse Marie-Madeleine... » !
Le plus vieux marin de Port Saint Nicolas.
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