Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
Mt 6,28-29

Pourquoi cette phrase, anodine, sorte de tache de soleil dans l’humus serré et foisonnant de la Bible, n’exprimant rien de dogmatique ou d’exemplaire, est-elle ma préférence ?
C’est sans doute que là s’exprime le plus précisément le catholicisme.
Ce moment d’arrêt, cet indicible de silence et d’émerveillement que l’on nomme contemplation. C’est le regard que le Christ-enfant, adolescent, du haut de son nid de pierraille et de sécheresse porta sur le printemps rose et jaune de la ruisselante Galilée. Là, en contrebas. L’émerveillement qu’Il en ressentit. Et je ne parle pas d’esthétisme, de frisson poétique et sensible, je parle de ce moment où Il a su. De cet instant éternel où Il laissa à la Grâce le temps de beauté nécessaire à sa Révélation.
Je crois, je crois que ce sont les roses campanules et les mousses d’or des bidens de Galilée qui, les premiers, ont aimé la beauté d’épure tragique de Son Calvaire. Je crois qu’à cet instant pétrifié s’est signé le pacte d’Amour.
Il me faudrait un livre pour parler de la Grâce. Je n’ai ni la science ni les mots. Ni le goût du martyre de ceux qui ont tenté de le faire. Seul Jésus, avec cette parcimonie stylistique qui lui est particulière, a pu nous évoquer le chemin et la matérialité de la Grâce par cette phrase :
« En vérité, je vous le dis, même le roi Salomon, dans toute sa splendeur, n’eut jamais de robe plus belle que le simple lis des champs. » ()
Chanteuse et actrice.
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
- Parmi les dons de Dieu ... s’il me manque l’amour...
- Et remets-nous nos péchés, car nous-mêmes remettons à quiconque nous doit ; et ne nous laisse pas entrer en tentation.
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Allez, il vous précède en Galilée
- Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- Vous donc, priez ainsi : Notre Père qui es dans les cieux, que ton Nom soit sanctifié...
- Tandis qu’il était encore loin, son père l’aperçut et fut pris de pitié ; il courut se jeter à son cou et l’embrassa tendrement.
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.
- Demeurez en moi !
- Et voici que, ce même jour, deux d’entre eux faisaient route vers un village du nom d’Emmaüs, distant de Jérusalem de 60 stades.
- Tout n’est pas de même intensité dans la Bible
- Ils se montraient assidus à l’enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. - On t’a fait savoir, homme, ce qui est bien, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu.
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté
- Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
- A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres.
- "Car tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et je t’aime."
- Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
- Pierre, m’aimes-tu ?
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- Viens !
- Que ta volonté soit faite
- J’ai compassion de qui j’ai compassion, et je fais miséricorde à qui je fais miséricorde.