Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur.
1 S 16,7
Difficile pour moi de choisir un passage de la Bible qui me parle particulièrement : ils sont si nombreux !
J’ai finalement choisi ce verset du premier livre de Samuel () parce que je suis sensible à la continuité du message évangélique avec l’Ancien Testament : on retrouve chez Matthieu (), dans la bouche de Jésus, et aussi dans l’épître de saint Jacques () cette méfiance de l’apparence qui peut être trompeuse ou périssable.
Si Dieu ‘regarde au cœur’, nous sommes invités à en faire autant pour être le plus possible ‘accordés au Seigneur’ (cf. folie aux yeux des hommes, sagesse aux yeux de Dieu), pour répondre à cet appel à être du Christ plutôt que de ce monde - tout en restant les pieds sur terre et vivant pleinement notre condition humaine (le Christ est bien venu nous montrer la voie, étant pleinement homme lors de sa vie en Palestine).
Ne pas faire confiance à l’apparence, mais surtout s’intéresser au contenu de l’enveloppe, "regarder au cœur", c’est pour moi un des ‘repères de base’ dans un monde où la frime est souvent à la base des relations humaines... (dans un pays du Proche Orient qui m’est cher est considéré comme ‘bon médecin’ celui qui possède une belle maison et une grosse voiture : s’il gagne beaucoup d’argent, c’est que c’est un bon médecin... le médecin humanitaire qui vit dans des conditions rudimentaires n’a pas bonne presse).
Cette échelle des valeurs me permet de regarder l’autre sans m’arrêter à son aspect physique, ni même à ses actes qui parfois me donneraient l’envie de me tenir à distance. Cela m’aide à voir en lui un frère, l’image du Christ, car assurément il y a au fond de lui quelque chose de beau, de bon, d’aimable - même s’il le cache bien. Ce qui ne m’empêche pas de me protéger de ses comportements qui pourraient me blesser trop profondément : les blessures superficielles apprennent à grandir en amour lorsqu’elles cicatrisent - celles qui seraient trop profondes seraient mortifères.
Cette parole de Dieu me donne aussi une liberté par rapport aux contraintes que pourraient nous imposer notre société occidentale (respect de la mode, de certains canons de beauté : je suis très sensible à la beauté d’un visage parcheminé de rides parce que ces rides sont la manifestation de sentiments, d’une vie souvent de service). Le respect que je donne à l’autre est bien plus important que la considération qu’il peut nourrir à mon égard. Les relations vraies que je tisse avec autrui sont celles qui vont de cœur à cœur sans se laisser perturber par les apparences, et celles-là me font comprendre un peu ce qu’est l’amour en Dieu, comme un avant-goût de vie éternelle.

Equipe de PSN
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur.
- Tout n’est pas de même intensité dans la Bible
- Viens !
- Et remets-nous nos péchés, car nous-mêmes remettons à quiconque nous doit ; et ne nous laisse pas entrer en tentation.
- Que ta volonté soit faite
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- Qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas
- Parmi les dons de Dieu ... s’il me manque l’amour...
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
- Le connaître, Lui, et la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances, lui devenir conforme dans la mort afin de parvenir si possible à ressusciter d’entre les morts.
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- Vous donc, priez ainsi : Notre Père qui es dans les cieux, que ton Nom soit sanctifié...
- J’ai compassion de qui j’ai compassion, et je fais miséricorde à qui je fais miséricorde.
- Allez, il vous précède en Galilée
- Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
- Et voici que, ce même jour, deux d’entre eux faisaient route vers un village du nom d’Emmaüs, distant de Jérusalem de 60 stades.
- La parabole du fils prodigue
- Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !
- Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- Tandis qu’il était encore loin, son père l’aperçut et fut pris de pitié ; il courut se jeter à son cou et l’embrassa tendrement.
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- Ils se montraient assidus à l’enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. - On t’a fait savoir, homme, ce qui est bien, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu.
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.