Le connaître, Lui, et la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances, lui devenir conforme dans la mort afin de parvenir si possible à ressusciter d’entre les morts.
Ph 3,10-11
Le connaître, Lui, Jésus... Il me semble que cela aura été la grande affaire de ma vie.

Pas seulement m’intéresser à ce qu’il a pu dire et faire, jadis, sur les chemins de Palestine, en lisant des tas de livres et de recherches sur lui et sur l’énigme de sa personne...
Mais le connaître aujourd’hui, un peu plus chaque jour, en acceptant son compagnonnage, lui qui, comme dit l’apôtre au verset suivant, me saisit plus que je ne le saisis.
Le connaître à l’œuvre, en commençant d’expérimenter sa puissance de résurrection.
Le connaître en le suivant au plus près sur un chemin où, tôt ou tard, surgit la croix.
Prendre des forces aujourd’hui pour être prêt demain quand viendra l’heure de souffrir et de mourir.
Le connaître et le suivre en osant croire qu’il nous donnera de l’imiter au-delà même de notre mort.
« Afin de parvenir si possible à la résurrection des morts »...
J’aime ce si possible. La première évidence, en effet, n’est pas celle de ma résurrection future, mais celle de la mort qui m’ôte, année après année, toujours plus d’êtres aimés et qui finira par me prendre moi-même. Il faut d’abord passer par là. C’est le passage obligé.
Ce si possible sous la plume de l’apôtre me rend supportables mes propres doutes et me fait quémander, non comme un dû, mais comme une grâce, le bonheur de connaître enfin le Christ dans sa gloire et de retrouver auprès de Lui tous ceux et celles que j’ai aimés.
Ces deux petits versets, j’y pense à chaque fois qu’à la messe je dis la belle préface des dimanches (dits du temps ordinaire n° 6) :
« Dans cette existence de chaque jour que nous recevons de ta grâce, la vie éternelle est déjà commencée : nous avons reçu les premiers dons de l’Esprit par qui tu as ressuscité Jésus d’entre les morts, et nous vivons dans l’espérance que s’accomplisse en nous le mystère de Pâques... »

Prêtre du diocèse de Créteil, ancien équipier de PSN.
Curé doyen de la paroisse Saint-Georges à Villeneuve-Saint-Georges.
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.
- Que ta volonté soit faite
- Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
- Qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas
- La parabole du fils prodigue
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- Et remets-nous nos péchés, car nous-mêmes remettons à quiconque nous doit ; et ne nous laisse pas entrer en tentation.
- Ils se montraient assidus à l’enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. - On t’a fait savoir, homme, ce qui est bien, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu.
- Viens !
- « Car tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et je t’aime. »
- Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur.
- En vérité, je te le dis, aujourd’hui tu seras avec moi dans le Paradis.
- Allez, il vous précède en Galilée
- Le connaître, Lui, et la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances, lui devenir conforme dans la mort afin de parvenir si possible à ressusciter d’entre les morts.
- Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
- Demeurez en moi !
- Pierre entend l’invitation de Jésus...
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !
- Parmi les dons de Dieu ... s’il me manque l’amour...
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres.
- Pierre, m’aimes-tu ?