Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
Jn 3,16-17
« ...Car Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. »
Depuis bientôt 8 ans je fais partie d’un groupe de lecture biblique et d’approfondissement de la foi et j’y ai fait bien des découvertes qui m’ont éclairée et donné à réfléchir, en particulier dans l’Ancien Testament que je connaissais bien mal.
Et pourtant, si je fais un retour en arrière sur ces 8 années je m’aperçois que c’est l’Evangile selon saint Jean qui m’a le plus enrichie : j’y ai trouvé des paroles sur l’amour entre le Père et le Fils, sur celui de Jésus-Christ pour nous, sur l’amour de Dieu pour nous et celui des hommes entre eux qui m’ont touchée au plus profond et nourrissent mon espérance.
Je pense en particulier à ces quelques versets :
« Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle. Car Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. » () Je crois que s’il n’existait que ce seul verset au lieu de quatre évangiles, cela me suffirait pour croire et espérer.
« Si quelqu’un m’aime, il observera ma parole, et mon Père l’aimera ; nous viendrons à lui et nous établirons chez lui notre demeure. » ()
Mais il est un verset que j’avais lu plusieurs fois sans y prêter plus que cela attention et qui un jour, - pourquoi, justement cette fois-là ? - m’a atteinte d’une façon telle que j’en ai pleuré de bonheur. Depuis il ne me quitte plus : « Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin des temps. » ()
C’est une véritable lumière d’espérance pour moi, qui me donne du courage quand j’ai peur de ne pas arriver à faire face à mes tâches et à mes responsabilités.
Chargée de mission ecclésiale du diocèse de Créteil.
- Viens !
- Parmi les dons de Dieu ... s’il me manque l’amour...
- A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres.
- Allez, il vous précède en Galilée
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- Qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas
- Tout n’est pas de même intensité dans la Bible
- Et voici que, ce même jour, deux d’entre eux faisaient route vers un village du nom d’Emmaüs, distant de Jérusalem de 60 stades.
- Le connaître, Lui, et la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances, lui devenir conforme dans la mort afin de parvenir si possible à ressusciter d’entre les morts.
- Demeurez en moi !
- La parabole du fils prodigue
- Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur.
- Vous donc, priez ainsi : Notre Père qui es dans les cieux, que ton Nom soit sanctifié...
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !
- Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
- Tandis qu’il était encore loin, son père l’aperçut et fut pris de pitié ; il courut se jeter à son cou et l’embrassa tendrement.
- Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.
- Pierre, m’aimes-tu ?
- Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.
- J’ai compassion de qui j’ai compassion, et je fais miséricorde à qui je fais miséricorde.
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- Et remets-nous nos péchés, car nous-mêmes remettons à quiconque nous doit ; et ne nous laisse pas entrer en tentation.
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?