Potins du sacristain - Juin 2012

Voilà, vous êtes au Bar de la Marine, où se trouve généralement le sacristain (il n’a que la place du village à traverser). Pas de chance ! Exceptionnellement, il n’est pas là ! C’est le patron du bar qui pourra nous répéter tout ce que le sacristain y a raconté ce mois-ci. Et puisque vous avez été nombreux à nous demander qui était le sacristain, vous pouvez le voir en photo au bas de cette page.

Oncle Pierre disait

« La Bible se lit plus avec le cœur qu’avec la tête »
ou encore...
« Ceux qui pardonnent arrêtent le venin qui circulait.
Stop !... Bravo ! »

Enjeux et défis écologiques pour l’avenir

Un groupe de travail composé d’évêques, de théologiens et d’experts a présenté un rapport sur les enjeux et les défis en matière d’environnement et d’écologie. Nous devons prendre conscience que sur des problèmes si graves et lourds de conséquences, on ne peut faire l’économie d’une réflexion de fond.
Le sacristain a relevé ces quelques phrases posant bien le problème de l’écologie qui va bien au-delà de toutes considérations politiques.

Il n’y a pas d’écologie qui ne soit globale : terre, homme et Dieu, créatures et Créateur sont étroitement liés. Respecter la terre, c’est respecter l’homme. Aimer l’humanité, c’est aussi aimer la terre.
Tous les êtres sont nés sur une même terre, terre mère, terre nourricière. Une même destinée, une même solidarité les unit. Cette solidarité est au cœur de la question écologique

En 1987, Jean-Paul II rappelait déjà : « Nous formons une seule famille humaine. Nous sommes frères et sœurs... Nous sommes appelés à reconnaître la solidarité fraternelle de la famille humaine comme la condition essentielle de notre vie commune sur terre. »

A son tour, Benoît XVI avertit qu’il ne saurait y avoir d’écologie de la nature sans écologie de l’homme :
« L’Église a une responsabilité envers la Création et doit la faire valoir publiquement aussi. Ce faisant, elle doit préserver non seulement la terre, l’eau et l’air comme dons de la Création appartenant à tous, elle doit aussi surtout protéger l’homme de sa propre destruction.
Le livre de la nature est unique et indivisible, qu’il s’agisse de l’environnement comme de la vie, de la sexualité, du mariage, de la famille, des relations sociales, en un mot du développement humain intégral. Les devoirs que nous avons vis-à-vis de l’environnement sont liés aux devoirs que nous avons envers la personne considérée en elle-même et dans sa relation avec les autres. On ne peut exiger les uns et piétiner les autres. C’est là une grave antinomie de la mentalité et de la praxis actuelle qui avilit la personne, bouleverse l’environnement et détériore la société.
 »

Confession...

Le sacristain propose qu’avant de faire une catéchèse sur la confession, on propose, pour commencer la méditation, ceci :


On peut aussi regarder cette petite vidéo.

Les idées reçues

Le sacristain pense qu’en cette période de controverses politiques, il est intéressant ce consulter ce document donnant une explication documentée sur certaines idées qui circulent dans beaucoup de discours. Voyez plutôt ce que pensent nos amis d’ATD quart monde.

L’énigme du sacristain

La réponse vous est donnée en envoyant par email votre solution à [jules.lagoutte@portstnicolas.org].

Si cet oiseau porte ce nom, c’est qu’on ne retrouvait jamais son nid ; si ce gros poisson porte ce nom, c’est qu’il a une morphologie qui ressemble à la silhouette de ce personnage humain qui a, pour son repos, permis de couvrir autrefois la France de merveilles architecturales. Et tous les trois portent le même nom... Et lorsque l’on prononce son nom au féminin on pense plutôt à un vêtement qu’à un personnage.

La photo du sacristain


Le photographe monté sur le mât a pris cette photo du sacristain... Vous le reconnaîtrez facilement, il porte un vêtement rouge.

Une faute d'orthographe, une erreur, un problème ?   
 
Jules LAGOUTTE

Patron du Bar de la Marine de Port Saint Nicolas.

Publié: 01/06/2012