Potins du sacristain - Décembre 2008

Voilà, vous êtes au bar de la Marine, où se trouve généralement le sacristain (il n’a que la place du village à traverser). Pas de chance ! Exceptionnellement, il n’est pas là ! C’est le patron du bar qui pourra nous répéter tout ce que le sacristain y a raconté ce mois-ci. Et puisque vous avez été nombreux à nous demander qui était le sacristain, vous pouvez le voir en photo au bas de cette page.

Oncle Pierre disait

« Avec la distraction, la prière y perd en unité, mais y gagne en diversité. ! »

Et il disait encore :
« Ceux qui, comme moi, se croient arrivés au sommet de la perfection, ne sont même pas partis ! »

Le canot du sacristain

Pour le 6 décembre et la fête de St Nicolas, patron des navigateurs (et des internautes), Jacques LASSOUDURE a vu grand et commandé au Chantier Naval de Port Saint Nicolas un canot pour son ami le sacristain. Le voici, prêt à appareiller. Il reste à trouver les rameurs...

De l’art d’exploiter la crédulité des personnes qui n’ont pas de peau !

Elle ne manque pas d’aplomb cette Californienne qui, dans une publication tout à fait officielle, demande à déposer un brevet concernant son invention de cosmétiques pour la peau, dans la composition desquels entre "sacred and/or holy water", en fait de l’eau de Lourdes et/ou de l’eau bénite. Elle va même jusqu’à en indiquer la proportion : jusqu’à 67,50 % selon le cosmétique désiré. Admirons la précision !
Gageons que si un brevet est attribué, ce sera pour elle celui de "charlatanisme" et, pour ses éventuelles clientes, celui de "crédulité" !

Lyon : une ville de jeunes


La preuve.

La pub du sacristain

Depuis octobre 2002 (autorisation de l’affiche « AMEN » par la justice française utilisant un symbole chrétien à des fins mercantiles), le sacristain tourne le concept dans le sens inverse et fait de la pub chrétienne avec des symboles laïcs, au nom de la même liberté d’expression.

Original : APEC

La Bible ou le portable

Imaginez ce qui se passerait si nous traitions notre Bible de la même manière que notre téléphone portable ?
Toujours nous mettrions notre Bible dans le sac, dans la poche du pantalon ou de la veste.
Et nous y jetterions un coup d’oeil plusieurs fois par jours.
Et nous reviendrions la chercher quand nous l’aurions oubliée à la maison ou au bureau.
Et nous l’utiliserions pour envoyer des messages à nos amis.
Et si nous la traitions comme si on ne pouvait vivre sans elle ?
Et si nous l’offrions à nos enfant, pour leur sécurité, et pour communiquer avec eux ?

A la différence du portable, la Bible ne connaît pas de panne de réseau.
On peut se « connecter » à elle n’importe où.
On n’a pas besoin de se préoccuper du crédit, car Jésus a payé la facture et nous disposons d’un crédit illimité.
Et par dessus tout : la communication ne peut être coupée, et la batterie est chargée à vie.

P.S. Et pourtant le sacristain a vu pendant une messe dominicale l’officiant sortir de sa poche le portable (pas la Bible), commencer sa conversation, sortir (ça passait mal !), et continuer sa messe, comme si de rien n’était.

L’énigme du sacristain

La réponse vous est donnée en envoyant par e-mail votre solution à .

On parle beaucoup de moi en cette fin 2008. Même le non croyant est obligé de reconnaître, rien qu’en me nommant, mon appartenance à Dieu. Si pour saint Matthieu je suis le premier, pour la plupart d’entre vous je suis le dernier, et dans tous les cas je suis le deuxième de la fin officielle quoique étrangère d’un cycle.
Qui suis-je ?

La photo du sacristain


Le sacristain scrutant la 13ème année de Port Saint Nicolas.

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Jules LAGOUTTE

Patron du Bar de la Marine de Port Saint Nicolas.

Publié: 01/12/2008