Les conseilleurs ne sont pas les payeurs
Ce proverbe est bien connu des moralistes. Il manifeste la distance inévitable qui existe entre la personne qui donne un avis ou un conseil et celle qui va décider et subir les conséquences concrètes de sa décision. En définitive, chacun reste seul en face de sa décision. C’est pourquoi, les moralistes sont invités à une grande prudence lorsqu’ils sont consultés.
Le Christ lui-même avait bien conscience de cet écart. Il n’hésita pas à reprocher aux pharisiens de lier de pesants fardeaux sur les épaules des gens et de ne pas vouloir les aider du petit doigt. () Par là, les moralistes doivent comprendre que leurs paroles ont des conséquences et qu’ils sont invités à être aussi responsables de leurs paroles !

Évêque de Séez, ancien équipier de PSN.
- Les conseilleurs ne sont pas les payeurs
- L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt
- Avant d’enlever la paille de l’œil de ton voisin, retire la poutre qui est dans le tien
- Toute vérité n’est pas bonne à dire
- Bien mal acquis ne profite jamais
- Charité bien ordonnée commence par soi-même
- Il n’y a pas de fumée sans feu
- La faim fait sortir le loup du bois
- Qui aime bien, châtie bien
- L’herbe du pré d’à-côté est toujours plus verte
- Vivre d’amour et d’eau fraîche
- Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre
- À l’impossible, nul n’est tenu
- Petit à petit l’oiseau fait son nid
- Nul grand homme pour son valet
- La fin ne justifie pas les moyens
- On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs
- La raison du plus fort est toujours la meilleure
- Quand le chat est parti les souris dansent
- Chacun voit midi à sa porte
- Faute avouée est à moitié pardonnée
- Le mieux est l’ennemi du bien
- L’argent ne fait pas le bonheur
- Les petits ruisseaux font les grandes rivières
- La curiosité est un vilain défaut
- L’enfer est pavé de bonnes intentions
- La paresse est la mère de tous les vices
- Qui trop embrasse, mal étreint