On ne parle plus guère de l’extrême-onction. Ça existe encore ?
Bien sûr, mais on préfère aujourd’hui parler de "l’onction des malades", un sacrement qui s’enracine très loin dans la pratique de l’Eglise (), mais que, dans un passé encore récent, on a hélas réservé pratiquement aux mourants.
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André KÉRYGME
Curé de Port Saint Nicolas
Dans cette rubrique
- Faut-il se confesser avant de recevoir l’onction des malades ?
- Quelle est l’origine du sacrement de l’onction des malades ?
- Faut-il préparer les malades à recevoir l’onction des malades ? Et si oui, comment ?
- Peut-on conférer l’onction des malades à quelqu’un "qui n’a plus sa tête" ?
- On ne parle plus guère de l’extrême-onction. Ça existe encore ?
- Un ami m’a dit que sa belle-mère était morte dans une maison de retraite sans voir le prêtre. Et quand on a enfin réussi à joindre un prêtre, il n’a pas voulu se déplacer pour lui donner les derniers sacrements !
- Qu’est-ce que l’onction des malades peut apporter de plus à celui qui reçoit déjà régulièrement la communion ?
- En quoi consiste le rituel du sacrement de l’onction des malades ?
- Peut-on recevoir plusieurs fois l’onction des malades ?
- A qui s’adresse le sacrement de l’onction des malades ?
- Pourquoi un sacrement spécial pour les malades ?
- Qui peut célébrer le sacrement de l’onction des malades ?
Publié: 01/02/2019